5 activités à faire dans le Vercors en été

Début août, nous nous sommes rendus dans le Vercors. Hormis Jérémy qui y était allé quelques fois en famille pour skier lors de son enfance, on n’avait pas beaucoup d’informations. Mais la région met en avant sa nature et ses montagnes, ses randonnées offrant des paysages de dingue, ses sports d’hiver et autres activités outdoor, et la météo s’annonçait hyper ensoleillée. Il ne nous en fallait pas plus pour sauter dans un train en direction de Grenoble. On vous donne dans cet article 5 activités à faire dans le Vercors en été.

Quelles sont les 5 activités à faire dans le Vercors en été?

  • Lac de Monteynard et ses passerelles himalayennes
  • Randonnées et bivouac dans le massif du Vercors
  • VTT électrique sur les hauteurs d’Autrans
  • Découverte de la gastronomie et de l’artisanat local
  • Trottinette au Col de Rousset

Grâce à Inspiration Vercors, nous avons découvert différentes activités à pratiquer dans le Vercors en été. Voici nos coups de coeur. 

Passerelles himalayennes, sports nautiques ou farniente au Lac de Monteynard

En haut de la liste des 5 activités à faire dans le Vercors en été : le lac de Monteynard. Situé à 25 km au sud de Grenoble, le lac de Monteynard est né de la création d’un barrage EDF en 1962. Il s’étend sur près de 20 km de long et est délimité par les canyons du Brac et de l’Ebron, pour une superficie totale de 657 hectares.

Bien que la baignade soit interdite, de nombreuses activités nautiques y sont très populaires. Grâce à ses vents quasi permanents, le site est devenu le repère des férus de planche à voile et de kite surf. Mais il offre aussi d’autres activités nautiques telles que le wakeboard, le ski nautique, le canoë, ou des croisières. Nous n’étions pas venus pour ça et n’avons pas eu l’occasion de tester, mais ça nous a définitivement donné envie.

Le lac est entouré de nombreuses zones de farniente et de pique-nique à l’ombre… ou non. Pas d’inquiétude donc, il y en a pour tous les goûts. Le paysage est époustouflant avec ses collines avoisinantes boisées à souhait, mais ce qui nous frappe surtout, c’est l’eau turquoise qui donne au lac des airs de Caraïbes. En un clin d’oeil, on sait qu’on va passer une bonne journée, on va complètement déconnecter, et on va en prendre plein la vue.

Que demander de plus?

De la hauteur? Ca tombe bien! Il existe deux passerelles himalayennes sur le site du Lac de Monteynard, et je vous garantis que c’est absolument magnifique (… et vertigineux). Ces passerelles sont suspendues entre 45 et 85 mètres de hauteur selon le niveau de l’eau, et permettent de faire le tour quasi complet du lac grâce à une randonnée entre montagnes et eau turquoise.

On ne passait que quelques heures autour du lac et on n’avait pas l’occasion de faire le tour complet du lac donc, après notre pique-nique, nous nous sommes mis en route vers la passerelle de l’Ebron. Elle se situe à environ une heure de marche au départ du parking du Treffort, et il y a deux chemins pour y accéder: le sentier familial et le chemin sportif. Gros point positif: les deux chemins sont en grande partie à l’ombre. Et ça n’est pas négligeable quand on est en plein été et que les températures sont très élevés.

On a commencé par longer la rive du lac, ce qui nous a permis d’observer plus en détail cette eau hypnotisante, cette roche imposante, ces familles prenant le soleil ou jouant au bord du lac, et ces amis qui faisaient du paddle ou du canoë. On est bien dans le Vercors !

Puis on s’est engagés dans la forêt au sein de laquelle le chemin sportif se fraie un passage. Alors… Oui, il faut des chaussures de marche et pas des tongs. Mais ça n’est pas pour autant que le chemin sportif est intense ou uniquement à la portée des sportifs aguerris. La belge que je suis est loin d’être sportive, et pourtant je suivais la cadence sans être à la traîne, et si j’ai souffert cette après-midi là, c’est plus de la chaleur que d’autre chose.

Une fois la passerelle en vue, on ne peut être que sous le charme. Elle surplombe le canyon de l’Ebron, et se fond parfaitement dans le paysage. Bien qu’il s’agisse de la plus petite des deux, elle impressionne avec ses 180 mètres de long… Et c’est à ce moment précis que j’ai réalisé que j’étais supposée traverser cette passerelle suspendue entre 45 et 85 mètres au-dessus du niveau de l’eau. Moi, qui ai le vertige.

Après un moment de panique et une discussion musclée avec moi-même, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis engagée sur le grillage qui sert de sol à la passerelle de 1,2 mètre de large. J’ai immédiatement su que la traverser allait me demander un effort important mais mon “moi raisonnable et raisonnée” savait que la construction est on ne peut plus sécurisée. Dommage que ça tanguait d’ailleurs, sinon je me serais probablement aventurée à lâcher des yeux la nuque de Jérémy pour observer avec curiosité l’ingénierie du pont.

Presque la totalité des personnes présentes en même temps que nous semblaient très à l’aise et ne pas souffrir du vertige d’ailleurs. Je ne suis probablement pas une référence en la matière…

Après avoir pris un peu de hauteur afin d’admirer la vue depuis l’autre côté de la passerelle, on a rebroussé chemin, traversant le pont à nouveau, et empruntant cette fois le sentier familial pour retourner vers notre véhicule. Ce sentier, bien que très agréable, offre peu de points de vue sur le lac. Lors de notre passage, il était littéralement envahi de chenilles suspendues dans les airs. Les éviter a été le défi du jour et a donné lieu à des mouvements brusques et peu contrôlés la plupart du temps.

Au total, on a parcouru 9 km avec 100 m de dénivelé. Il s’agit donc d’une marche facile et accessible à la majorité. Le point bonus: ils sont en train d’aménager un accès pour personnes à mobilité réduite à la fin du sentier familial, ce qui devrait permettre à plus de personnes encore de profiter de cette vue incroyable.

Lorsqu’on est arrivé sur le parking de Treffort, j’avoue ne pas avoir été séduite. Il semblait y avoir beaucoup de voitures (donc beaucoup de monde), plusieurs bâtiments tranchant un peu trop avec le paysage, … Et ce n’est vraiment pas ce qu’on recherche dans nos voyages. Mais cette réserve s’est effacée dès que nous nous sommes aventurés à la recherche d’un endroit pour pique-niquer. Et j’ai été sans voix face aux paysages grandioses plus d’une fois ce jour-là…

Si nous avions passé la journée autour du lac, on aurait définitivement fait le circuit des passerelles qui permet de passer par la passerelle de l’Ebron qu’on a eu la chance de tester mais aussi la passerelle du Drac qui fait 40 mètres de plus que sa soeur, soit 220 mètres de long, et qui emprunte un bateau pour relier Treffort à Mayres-Savel (et inversément). Cette randonnée de 12,5 km pour un dénivelé de 450 mètres permet de faire une boucle autour du lac et d’avoir une vue à 360° sur les alentours.

Randonnées et bivouac dans le massif du Vercors

Deuxième activités dans ce top 5 des activités à faire dans le Vercors en été : une randonnée bien sûr. Le massif du Vercors se situe dans les Préalpes et regorge d’une multitude de chemins de randonnée qui, bien que fréquentés, donnent rapidement le sentiment d’être seul(s) au monde. La nature a été très généreuse avec ce coin du sud-est de la France car on y a découvert des paysages à couper le souffle sans trop d’efforts.

Pour avoir un bref aperçu du potentiel de la région, on s’est aventuré pendant une heure environ sur l’alpage du Serpaton. Celui-ci nous a offert un moment hors du temps. On y découvre une vue imprenable à 360° sur les sommets et crêtes environnants, dont le fameux Mont Aiguille, majestueux, impressionnant, et emblématique qui culmine à 2087 mètres.

On y a découvert des alpages colorés, remplis de chardons et autres fleurs des champs, paradis des abeilles et papillons. Et où le son de cloche des troupeaux est le seul élément venant perturber le silence.

De quoi tomber sous le charme immédiatement. Et de regretter de ne pas avoir l’opportunité d’y passer plus de temps… Car, l’alpage du Serpaton offre une randonnée relativement facile de 3 heures environ où les vues magnifiques s’enchaînent. 

Lors de notre séjour dans le Vercors, on a également eu l’occasion d’effectuer une randonnée de deux jours entre Chichilianne et le Col de Rousset en compagnie d’un âne. On a donc traversé une partie du Parc Naturel Régional du Vercors et passé la nuit sur les Hauts Plateaux du Vercors. Une expérience unique! Entre montées ardues, plateaux étendus, vues plongeantes et vertigineuses, …

Les paysages rencontrés lors de ces deux jours nous ont notamment fait penser à Yosemite et à la partie nord du Monténégro. On en a pris plein les yeux et, même pour la non-sportive que je suis, ça nous a vraiment envie de revenir pour d’autres randonnées dans la région.

Ces deux jours en pleine nature méritent définitivement un article dédié donc on vous prépare ça prochainement!

VTT électrique sur les hauteurs d’Autrans

On continue ces 5 activités à faire dans le Vercors en été avec le VTT électrique. S’il y a bien une chose qu’on essaie de faire à chacun de nos voyages, c’est de tenter une nouvelle expérience. Et le VTT à assistance électrique, on ne connaît pas, alors tentons!

Même si on prend rarement le temps de le faire, on aime les balades en vélo. Mais j’avoue n’avoir jamais fait de VTT en forêt ou être montée sur un vélo dans un but “sportif”. Je n’étais donc pas hyper sereine à l’idée de cette journée… Jérémy était quant à lui loin devant, plus motivé que jamais.

Parce que oui, on était impatients de découvrir les hauteurs d’Autrans en compagnie de David, moniteur encadrant de Velectrip. Mais on était particulièrement curieux de tester le VTT à assistance électrique.  Après une séance tests et réglages d’une vingtaine de minutes, nous nous sommes lancés à la conquête de terrains inconnus. Hum… Je m’emballe.

Le début se fait assez bien, le parcours n’est pas trop compliqué, et le dénivelé est gérable même sans assistance électrique… Mais on a rapidement pris de la hauteur et ça s’est corsé! D’abord hésitante, je me suis vite rendue compte que l’assistance électrique allait me permettre de profiter pleinement de cette journée. Le Vercors est clairement le terrain de jeu parfait pour cette balade à vélo.

Jongler avec les différents niveaux d’assistance se fait assez instinctivement, et permet de grimper des pentes impossibles à attaquer sans. En début de journée, je m’étais dit que la fonction boost ne devait probablement pas être utilisée très souvent… C’était sans connaître le parcours que nous avait concocté David bien sûr. Naïveté, quand tu nous tiens…

Mais le jeu en valait la chandelle. On a eu droit à des vues à couper le souffle sur les vallées et sommets entourant Autrans et Grenoble, on s’est retrouvés seuls au coeur de la forêt à apprécier le silence, on a traversé des alpages où on a uniquement croisé quelques troupeaux ici et là, et on a vécu une expérience qu’il nous tarde de renouveler. Définitivement, le VTT à assistance électrique nous a rapidement séduits.

Quant à notre moniteur, je l’ai trouvé extrêmement pédagogue. J’étais clairement la moins sportive et la moins à l’aise du groupe, et il m’a accompagnée, guidée, et conseillée en douceur, de sorte à ce que je gagne progressivement en assurance et que je profite de l’activité pleinement. Merci David!

Après une pause déjeuner au Gîte de la Molière, nous nous sommes remis en route vers Autrans, mais cette fois par la route pour la descente. Cette décision a été prise pour plusieurs raisons. D’une, il fallait que nous soyions de retour à une heure précise car notre train nous attendait à Valence en fin d’après-midi. De deux, le parcours sportif allait probablement rendre la descente pénible pour moi, et il aurait été dommage de finir sur une note amère. Et de trois, ça nous a permis de prendre de la vitesse… d’une manière assez impressionnante! Au total, nous avons parcouru 37 km sur des pistes, chemins, sentiers, et routes, avec un pic de vitesse à 72 km/h pour Jérémy et 57 km/h pour moi. Pas mal pour une première!

Gastronomie et artisanat local

Il semble y avoir de très bonnes tables pour peu cher dans le Vercors. Ça a du moins été notre expérience. Et ça, on adore! Le coup de coeur de notre séjour va immanquablement à l’Auberge Le Collet. Il s’agit d’un petit établissement situé à 15 minutes en voiture du Col de Rousset et où on ne se serait probablement pas arrêtés s’il ne nous avait pas été conseillé. On ne peut en effet pas dire que le bâtiment attire l’oeil ou ouvre l’appétit. Et pourtant… Nous nous sommes installés sur la terrasse ombragée et la carte limitée nous a immédiatement rassurés sur le côté “fait maison” des plats. Et quels plats! Le chef est un artiste qui travaille les produits locaux et qui concocte des assiettes dignes d’un bistro gastro pour des prix plus que raisonnables. Chaque plat était équilibré, parfaitement assaisonné, et subtilement dressé. La surprise a été totale, au plus grand bonheur de nos papilles!

Si on continue sur la lancée des auberges dans le Vercors, on a passé une excellente soirée à l’Auberge Buissonnière. Nichée au coeur du Parc Naturel Régional du Vercors, la terrasse de l’établissement familial n’a pas du nous faire de l’oeil bien longtemps avant qu’on s’y installe. Et on n’a pas été déçus! L’accueil chaleureux et sans prétention de la maîtresse des lieux nous a tout de suite mis à l’aise et un regard sur la liste des bières nous confirme qu’on est bien tombés: on y trouve que du local. Et il en va de même des produits utilisés en cuisine: locaux, et bio en prime.

On y a très bien mangé, découvert de bonnes bières, et conclu la soirée autour d’un (ou plusieurs…) verre(s) de Chartreuse. La belle vie en somme.

Grâce à l’Auberge Buissonnière, nous avons eu connaissance d’une initiative toute nouvelle de la région: la route des savoir-faire du Trièves. Le principe est simple: des producteurs, artisans ou sites culturels locaux ouvrent leurs portes aux curieux pour une expérience insolite. L’occasion donc de découvrir des métiers et savoir-faire, de partager des passions, de déguster ou essayer des produits locaux, et pourquoi pas d’observer une démonstration du travail quotidien.

On a d’ailleurs eu l’occasion de randonner et de bivouaquer avec l’un des 33 producteurs et artisans participant au projet cette année: Maxime Poulat, vigneron et amoureux de la nature. Il a été le premier à réussir l’exploit de nous faire apprécier un verre de vin rouge. On en aurait presque redemandé!

Nous nous sommes rendus dans une ferme d’élevage de brebis en agriculture biologique et de production fromagère à taille humaine qui ne fait pas partie de la route des savoir-faire mais qui mérite le détour: la ferme Bouclette et Compagnie d’Igor et Laure.

La ferme Bouclette et Compagnie, c’est une soixantaine de brebis, produisant chacune entre 200 et 220 litres de lait par an, soit environ 12.000 litres de lait par an. Ce lait est ensuite transformé par Laure en délicieux fromages fermiers et yaourts au lait de brebis.

Igor nous a accueilli pour nous faire visiter la ferme, nous raconter pourquoi sa femme et lui se sont lancés dans cette aventure il y a une bonne dizaine d’années, et nous expliquer les principes fondamentaux qui régissent leur vie à la ferme.

L’un des éléments clés qui transpire dans ces explications, c’est la volonté d’Igor et de Laure d’agir dans le respect de la nature, des animaux, et des produits. À titre d’exemple, la brebis produit du lait entre avril et octobre sans l’intervention de l’homme, et il est relativement facile de “désaisonnaliser” les gestations de brebis afin d’être en mesure de proposer des produits à base de lait de brebis toute l’année. C’est une pratique que refuse Igor, qui insiste sur le fait que le fromage et le yaourt de brebis sont des produits saisonniers, et qu’ils n’ont aucune volonté de proposer leur production toute l’année.

L’authenticité de cette visite nous a touchés. Il faut dire qu’Igor ne fait pas dans la langue de bois, et n’hésite pas à aborder des sujets pouvant être source de controverse. Amoureux de ses brebis, on sent d’ailleurs son émotion quand il parle d’une conséquence inhérente à ce type d’exploitation: l’abattage de ses bêtes pour les transformer en agneau de lait. Il semble que ce sujet soit douloureux pour lui, et qu’il préférerait avoir d’autres alternatives à disposition. Il travaille donc avec une coopérative où seuls des agriculteurs et des bouchers opèrent, et où l’abattage se fait dans un temps très restreint après l’arrivée de l’animal sur place. Là encore, sa volonté de réduire l’inconfort et le stress de l’animal au maximum nous frappe.

Igor et Laure travaillent avec passion et amour. Chaque animal présent dans l’exploitation joue un rôle important et est directement ou indirectement lié à la transformation artisanale du lait de brebis. Leurs fromages et yaourts sont produits sur place, et vendus directement à la ferme ainsi que dans quelques marchés des environs. Si ça, ça n’est pas du circuit court…

Trottinette au Col de Rousset

En voilà une autre activité à faire dans le Vercors en été ; de la trottinette de descente. Situé entre 1254 et 1700 mètres d’altitude, le Col de Rousset et sa station familiale de ski alpin l’hiver se transforme en parc aventures pour petits et grands l’été en proposant des activités telles que la luge sur rail, la trottinette de descente, la randonnée ou encore le VTT. Et il faut dire qu’on aime assez bien l’idée d’exploiter un domaine hiver comme été avec des activités différentes selon les saisons.

On a opté pour la trottinette de descente, encore une nouveauté pour nous. Et on a adoré la manière dont les pistes de ski alpin et de ski de fond sont transformées et utilisées en été. Parcours au milieu des arbres et des cailloux, avec des petits ponts et plateformes de saut en bois, slaloms serrés, larges pistes de descente… Une belle combinaison pour des sensations fortes.

On a décidé d’emprunter la piste “la plus fun” selon la personne qui nous a remis nos trottinettes, la “Woodstock”. J’aurais du me méfier… Si Jérémy était plus enthousiaste qu’un gamin, je n’étais quant à moi pas hyper rassurée. Manque d’équilibre, peur de tomber, parcours escarpé… tout était réuni pour que je ne sois pas très à l’aise au cours de cette activité.

Dommage car il y avait des pistes plus gentillettes, réservées aux familles. J’aurais probablement du m’orienter vers l’une d’elles pour profiter de l’expérience et me rassurer un peu aux commandes de l’engin. 

Et sinon, on dort parfois? Où dormir lors d’un séjour dans le Vercors

Toutes les activités décrites dans cet article sont facilement accessibles au départ de Grenoble. Par contre, pour profiter pleinement de votre séjour, on vous conseille de laisser la ville derrière vous et de séjourner au coeur de la région. À titre d’exemples:

À Gresse-en-Vercors, nous avons séjourné à L’Auberge Buissonnière

L’auberge, idéalement située au coeur du Parc Naturel Régional du Vercors, dispose de 6 chambres simples, épurées, mais très agréables et au calme. On vous la recommande très fortementVous pouvez réserver vos nuits en cliquant ici.

Ce qu’on a particulièrement aimé à la Buissonnière, c’est la gentillesse de nos chers hôtes Hervé et Elodie, les produits de qualité du petit déj’ et du repas du soir, cette impression d’être hors du temps et la vue depuis notre chambre.

À Autrans, nous avons passé la nuit au Gîte de Gève

Le Gîte de Gève est idéalement situé pour débuter ou se reposer d’une randonnée. Le domaine dispose de 3 chalets rustiques intégralement en bois pouvant accueillir jusqu’à 7 personnes chacun ainsi que d’un dortoir pour 12 personnes.

Ce qu’on a aimé au gîte, c’est l’immersion totale dans la nature, l’atmosphère familiale du lieu, les concerts du jeudi soir durant l’été, et les chevaux et poneys présents à deux pas de notre chalet.

Pensez par contre à amener votre sac de couchage, votre serviette de bain, votre savon… Le gîte est en mode relax et camping!

 

Cet article est le fruit d’une collaboration avec  Inspiration Vercors et ses partenaires. Nous restons néanmoins libres de nos opinions et du contenu que nous vous proposons.

 

Une Belge Un Français:
Related Post